Samurai High School - Jdrama
Samurai High School
Introduction
Ah, nous voilà de retour sur les dramas japonais !! Avouez, avec la méga mode des coréens en ce moment, un petit retour sur les j-dramas fait toujours plaisir… C’est vrai que cela faisait plusieurs mois que je n’étais pas tombée sur un drama japonais qui m’avait suffisamment intéressée pour que je le termine – argument de poids quand on sait que j’ai réussi à avaler au moins 18 épisodes de Dal Ja’s Spring alors que je ne supportais pas l’héroïne, donc face à un j-drama de 10 épisodes, allez-y, faites le calcul. J’avais bien tenté de revoir Mei-chan no Shitsuji et regarder Tokyo Dogs pour de bon (parce qu’en vrai j’ai vu Tokyo Dogs mais sans me concentrer à mort sur Shun et Hiro, juste en travaillant sur le check de la vostfr) mais au final je n’ai jamais eu le temps de finir tout ça… Je voulais regarder Mukodono jusqu’au bout, Karei Naru Spy aussi, et puis M.Brain, Change, et tous ces dramas que je dois regarder mais que je n’ai pas la force (ni le temps, surtout) de voir… Mon dernier effort pour un j-drama auquel je n’ai pas accroché remonte à Yamato Nadeshiko : deux épisodes.
Mais Milady est arrivée, et Milady m’a passé Samurai High School. Et on sait toutes que Milady ne peut apporter que des bonnes choses, donc, j’ai regardé Samurai High School. Enfin, non, pour être plus honnête il faut préciser également que c’est Miura Haruma qui a le rôle principal, comme ça vous comprendrez mieux ma motivation, parce qu’en fait Mila m’a passé beaucoup de dramas mais j’ai commencé par celui-ci, la raison étant : Miumiu. Et vous savez quoi ? C’est une excellente raison de regarder 9 épisodes de Samurai High School.
L’histoire : un samurai dans la high school.
Le titre est assez évocateur, ça parle d’un samouraï dans un lycée, et comme on sait que Miumiu a le rôle principal, on pige forcément que ça va être Miumiu, le lycéen samouraï. Mais sinon, je vous l’accorde, il y a effectivement du background.
Le premier épisode démarre sur Mochizuki Kotaro, le personnage de Miumiu, tranquillement en train de dormir au premier rang de sa salle de classe. Pour un premier contact, c’est plutôt bien vu et ça permet de rapidement cerner le personnage : Kotaro est en fait une espèce de clown qui n’a pas réellement d’intérêt dans quelque domaine que ce soit, à part peut-être les grimaces et les siestes clandestines en cours de maths. Ah d’ailleurs. Je préfère vous prévenir. Quand il joue Mochizuki Kotaro, il a un rideau de cheveux sur la figure, dans le genre plat, et pas très joli. Pas moche, non, et puis en même temps quand on a vu ce qu’il a fait subir à ses cheveux on finit par aimer le look j’ai-repassé-mes-cheveux-au-réveil, mais bon, franchement, entre ça et ses grimaces et gémissements exagérés on est en droit de se demander, pourquoi, Miumiu, pourquoi ? Alors, oui, il est choupi, et oui, c’est censé être un clown ; mais l’attitude de gros loser était-elle vraiment nécessaire, surtout sachant que c’est absolument pas crédible et que ça touche à l’oxymore quand on voit ça sur lui ? Personnellement je pense qu’il aurait pu moins en faire. Mais bon. Il est choupi.
Et donc, ce brave petit Kotaro se retrouve bien embêté lorsque, après avoir rêvé d’une grande bataille datant de la guerre civile 400 ans plus tôt en plein cours de maths, il se retrouve à devoir faire une disserte sur ladite guerre, puisqu’il est si malin. Il va donc se rendre à la bibliothèque historique, et là, une étrange dame très belle vêtue d’un kimono va lui remettre, pour l’aider, un vieil ouvrage sur un jeune samouraï de 17 ans mort pendant cette bataille, le jeune Mochizuki Kotaro.
C’est bon, vous voyez où ils veulent en venir ?
En rentrant, notre ami Kotaro raconte à son papa sa découverte, et le père, intéressé (j’aime bien ce père de toute façon) lui dit qu’effectivement, quatre siècles plus tôt, leur famille servait la famille servie par le Kotaro-samouraï, et qu’il s’agit probablement d’un de leurs ancêtres.
Alors ça pourrait s’arrêter là ? Oui, mais. Il faut une histoire pour faire un drama – certains dramas n’ont pas d’histoire mais là, coup de chance, il y en a une. Ainsi, à partir du moment où Kotaro commence à lire ces écrits sur Kotaro-samouraï, à chaque fois qu’il se retrouve dans une situation dangereuse/foireuse/délicate/etc, l’esprit du samouraï prend possession de son corps après une jolie petite cinématique un brin lassante, bien que courte. Et là, c’est trop la classe. Je m’explique. Déjà, Haruma Miura qui joue à faire l’andouille, c’est hyper choupi. Ensuite, Haruma Miura qui joue le samouraï ultra méga classe, musclé et courageux, c’est hyper sexy. Et pour finir, c’est Miura Haruma. Vous l’aurez donc compris, c’est un combo ultime pour accrocher définitivement n’importe quelle fangirl jusqu’à la fin du drama – d’ailleurs, je l’ai regardé en moins de 24h (parce que j’ai dormi cette nuit, sinon ça descendait à 12, et puis, j’ai regardé d’autres trucs entre temps).
Bref, pour en revenir à Kotaro, il se retrouve avec un sacré problème à gérer, parce que samouraï-Kotaro a un gros problème avec les questions d’honneur et il est plutôt du genre psycho-rigide, comme mec, si vous voulez mon avis même à son époque c’était le cas social du village, c’est peut-être un combattant hors pair mais alors quelle tête de mule ! Quand il s’agit de laver son honneur, il ne rigole carrément pas, mais le pire c’est qu’en plus il donne des leçons aux gens dès qu’il peut, par moments c’est limite Yankumiesque – cela dit, outre le fait que le rôle principal soit incarné par Miumiu, les similarités avec Gokusen sont multiples, ne serait-ce qu’avec les décors extérieurs qui sont quasiment les mêmes à 50%. Mais rassurez-vous, aucune commune mesure entre ces deux dramas : Samurai High School, c’est bien. Par contre, si SHS a été tourné avant Gokusen, Miumiu a dû vraiment s’ennuyer avec les combats du 2e drama. Car avouons-le, se battre avec un balai fluo ou une règle en guise de katana c’est quand même vachement plus classe que se faire casser la gueule à un contre vingt au fond d’un hangar désaffecté. Et puis, même, il a beau tenir une règle en plastique, quand il fait le samouraï ça reste hyper méga classe. En tout cas, malgré le surjeu, sur moi ça marche à fond. Mais ne vous inquiétez pas, Kotaro réalise assez vite qu’il existe un moyen pour ne plus être possédé par l’esprit du samouraï : être en contact direct avec une fille. Là, il roule des yeux et tombe dans les pommes illico. Honnêtement, j’ai essayé de réfléchir à la logique de la chose : est-ce que c’est le samouraï qui se retrouve tout chose et qui fuit, est-ce que c’est le samouraï qui ne veut approcher aucune autre femme que la sienne, est-ce que c’est Kotaro qui a soudain la chair d’ampoule parce que ohmondieu une fille ? Bon, très franchement si vous voulez mon avis, je crois bien que c’est tout bêtement Kotaro lui-même qui se sent plus lorsqu’une fille l’approche. Encore plus sérieusement, je dirais que les scénaristes n’ont pas spécialement réfléchi à une vraie explication pour ça, ou alors ça a été coupé au montage, je ne vois rien d’autre.
Enfin, quoi qu’il en soit, le but de l’histoire reste quand même que Kotaro et son samouraï s’apportent quelque chose l’un l’autre, parce que forcément voilà, Kotaro est un des mecs les plus couards du monde et son samouraï c’est plutôt l’inverse. En plus il se la pète. Enfin, moi je trouve qu’il se la pète. Le samouraï, pas Kotaro. Bref.
Du coup, ils vont devoir tous les deux traverser un tonneau d’ennuis à cause de ce petit problème, dont notamment les notes absolument catastrophiques de Kotaro qui bien qu’il soit en Terminale n’en fout pas une rame, et bien qu’il flippe un brin pour son test d’entrée à la fac, ça n’a pas l’air de le motiver plus que ça pour ouvrir un bouquin. Mais en plus, le pire pour Kotaro, c’est que lorsque le samouraï apparaît et lui fait faire des trucs étranges, imprudents, et se donne en spectacle (aucune mention inutile), après il se retrouve à devoir écoper niveau conséquences ! Parce que si jamais qui que ce soit apprend qu’il est possédé par un esprit, l’esprit s’en va et le corps meurt dans le processus, c’est comme ça que ça se passe dans ce drama.
Vous l’aurez donc compris, les deux Kotaro doivent cohabiter, sans même pouvoir communiquer, et franchement, bonjour la galère, mais nous on ne s’en plaint pas parce que ça nous fait du Miumiu 2 en 1 et il est donc 2 fois plus sexy.
(Et elle ferme les yeux en plus... les héroïnes de dramas ont un vrai problème.)
Les personnages
Alors, il y a une tripotée de personnages secondaires plus
ou moins intéressants, dans trois cercles en particulier, histoire de fournir
un bon échantillon de la société en contact avec le héros… on a la sphère
famille, la sphère amis, la sphère profs. Et le policier du quartier, toujours
en train de demander à Kotaro s’il est pas encore en train de chercher à faire
le délinquant.
Côté famille, on a les parents et la petite sœur : le
père, je l’aime bien il est sympa, il est zen, et juste ce qu’il faut dans les
astres pour survivre avec sa femme. Parce que la mère, bonjour, c’est un
appareil à névroses, toujours en train de hurler et de trembler de colère parce
que tout ne se passe pas comme prévu… Un conseil les amis, si un jour vous êtes
comme ça avec vos enfants, faites-vous suivre et envoyez-les en colo, ça fera
du bien à tout le monde. Mais bon, Kotaro n’a pas l’air profondément
traumatisé, contrairement à sa petite sœur qui lui répète à longueur de journée
que de toute façon il est trop bête pour entrer à la fac – genre, où elle a vu
qu’on parle comme ça à son grand frère, quoi. Enfin, bref.
Au niveau de l’école, il y a toute une équipe de profs ultra
lèche-bottes, qui sont aux pieds de la proviseure, laquelle a des principes
d’éducation franchement bizarres. Pendant la première moitié du drama, c’est un
monstre, et dans la deuxième, plus du tout. La seule explication logique pour
cette histoire, c’est que son personnage soit mal écrit à mort. Et sinon, il y
a la prof de la classe de Kotaro, au début je savais pas trop si j’allais
l’aimer ou pas, mais finalement en vrai c’est une fille géniale, donc
maintenant c’est bon je l’aime. En plus, j’ai passé tout le drama à me demander
si elle allait finir avec le policier marrant mais un peu con.
Pour les amis, il en a principalement deux : son amiE d’enfance et son nouveau meilleur ami flambant neuf qui se prend pour son vassal et l’appelle Tono tout le temps. Par extension, il y a aussi la meilleure amie de la fille mais c’est plutôt rare. Alors, eux, je les ai bien aimés… Le pote est plutôt du genre pitoyablement pathétique ; au début ça fait de la peine, à la fin on a envie de lui conseiller un bon psy. Mais globalement, c’est un mec bien. Je vais éviter de m’embarquer dans des commentaires sur l’acteur en tant que tel parce que bien que je le connaisse, je n’ai actuellement pas de connexion et donc pas de dramawiki pour vérifier que je ne dis pas de conneries, donc ça va aller pour ce perso… D’ailleurs, en parlant de vérifications, j’ai hâte de checker le nom de l’actrice qui joue la fille du trio… Elle me faisait penser à cette actrice dont je ne connais toujours pas le nom et qui joue Noriko dans Yukan Club, la copine de Light dans Death Note et Minami-sensei dans My Boss My Hero. Cela dit, ça m’étonnerait que ce soit la même parce qu’elle m’a l’air quand même plus jeune, au visage plus mince et avec de moins gros yeux – mais je peux me tromper. Toujours est-il que j’ai bien aimé son personnage, je ne lui en ai presque pas voulu d’être le rôle féminin associé à Miura Haruma. Enfin en même temps c’est son métier. Mais c’est mieux si elle est sympathique, et personnellement, je l’ai trouvée sympathique, donc tout va bien.
Parlons donc maintenant du principal intérêt de cette histoire : Haruma Miura (enfin ! je parle que de lui depuis le début, mais « enfin ! » quand même).
On va commencer avec une mise au point qui peut sembler superflue mais qui est nécessaire : Miumiu, il est beau. Miumiu, il a du charisme. Miumiu, même épais comme un cintre en fer, il est irrésistible. Voilà. A moins de le haïr profondément, il est impossible de ne pas l’aimer dans ce drama – et plus largement, il est impossible de ne pas l’aimer en général. Même quand il joue mal.
Et en l’occurrence, comme je le disais quelques paragraphes plus haut, question naturel son jeu de Kotaro est quand même une grosse foirade, parce qu’il se tortille pitoyablement dans tous les sens, il gémit, il a un rôle de couard, il a cette coupe de cheveux qui ne l’avantage PAS, bref, la totale, plus nul tu meurs. Et là où ça foire, là jusqu’où il n’a pas réfléchi, c’est qu’avec une tête comme la sienne, on peut faire semblant d’être un looseur tant qu’on veut, ça ne prend pas. Ca prend seulement quand il est choupi – et choupi, il l’est ! N’ayez pas peur. Non, le côté choupinou n’est pas en reste, surtout dans le générique, il sourit là et puis… kyaaaah. Mais par contre voilà, écarquiller les yeux et décrocher la mâchoire, ça ne lui va absolument pas, surtout quand il planque un œil sous sa mémèche pourrie et toute plate. Je comprends qu’il ait besoin de ces cheveux-là pour sa coiffure de samouraï, mais ça n’y change rien, avec les cheveux plats et la raie sur le côté, ça fait moche, voilà.
Par contre, quand il se transforme en samouraï, plus de choupi, plus de moche : que du kyah. (Mes phrases se font de moins en moins françaises, ça devient inquiétant). En gros, tel Yankumi qui défait ses couettes, Kotaro attache ses cheveux – et comme c’est trop long à montrer à l’écran, on le voit juste avec la main sur sa demi-couette arrière à chaque fin de cinématique. Non parce que, imaginez… « Deux minutes, vite fait, je m’attache les cheveux… attendez hein, j’ai presque fini, je termine ça et je peux vous casser la gueule… » Niveau professionnalisme samouraï, c’est pas vraiment ça. Du coup plutôt que de le montrer subitement transformé, le petit coup de la main sur la couette fait genre il s’est quand même pris le temps de se faire une couette à la vitesse de la lumière comme ça on l’a pas vu et ça casse pas toute l’ambiance de la scène… et c’est plutôt bien, parce qu’au final, cette couette est très classe et nous permet d’éliminer la problématique mémèche en plein milieu qui lui couvre la moitié du visage et fait méga nounouille. Et ce n’est pas tout : conformément à la plupart des héros à double personnalité ou tout simplement dark, Kotaro se distingue du Kotaro-samouraï par du maquillage très léger mais tout de même largement kyattesque. En effet, chaque apparition du Kotaro-samouraï est très facile à reconnaître, grâce au sempiternel trait de crayon noir sous les yeux. Déjà qu’il avait une tête de fille… Mais vous savez quoi ? C’est trop la classe. Après tout, le crayon noir, c’est trop la classe. On peut citer des exemples : Peter Parker sous vixen, TOP dans IRIS, Lee Min-Ho dans la pub Cass. Etc. Eh bien Haruma Miura se rajoute à la liste de tous ces mecs qui sont hyper beaux et masculins tout en portant du crayon noir sous les yeux. Et puis, masculin… Vous vous disiez, Miumiu, il est super choupi mais suffit de souffler dessus pour qu’il s’envole, hein ? Que nenni. En fait si vous avez vu Gokusen 3 vous le savez déjà, mais si Miura est si freluquet, c’est en fait parce que son charisme prend trop de place autour de lui. Et puis, en samouraï, je sais pas comment ils se sont débrouillés sur le plateau, mais il fait quand même pas mal musclé. Pour sa corpulence, ok, mais musclé quand même, quoi. Haruma Miura, musclé, avec une couette, du crayon noir sous les yeux, qui parle avec une voix grave et prend des poses de samouraï méga classe. Non, franchement, comment vouliez-vous que je décroche de ce drama tant que je n’avais pas tout vu ? Je n’irai pas jusqu’à dire que c’est l’argument du drama, mais presque. Oh et puis quand on se retrouve avec les deux face à face, genre, dans l’opening, c’est juste trop atroce : Haruma contre Miura, c’est un coup à causer un sacré court-circuit cérébral. On regarde à droite, on voit un Miumiu sexy, on regarde à gauche, on voit un Miumiu choupi, bref, y’a largement de quoi se damner une bonne dizaine de fois. Moi je dis, de tels procédés devraient être interdits. Déjà parce que ça doit être chiant à tourner puis à incruster, mais en plus parce que ça met vachement en danger les cerveaux de fangirls. Imaginez, un neurone lâche, l’autre craque, ça fait court-circuit et bim, mort cérébrale, exactement comme Shun dans Hana Kimi. Et puis, voilà, c’est vrai que globalement, le personnage du samouraï, bien que sacrément répétitif, est plutôt bien classe, si on réussit à oublier ses fâcheux accès de muflerie qui le poussent à demander à chaque fois que la copine l’approche trop si c’est parce qu’elle veut « porter ses enfants » - imaginez sa tête, la pauvre… enfin cela dit, dans une fiction, face à un Miumiu comme ça, on comprendrait même qu’elle dise oui. Mais heureusement elle lui met un pain, c’est mieux comme ça.
Pour finir
Car il faut bien finir un jour… Globalement, je dirais que Samurai High School est un drama plutôt pas mal avec un quota de bishos plus qu’acceptable, et une histoire qui tient un minimum plus la route que la moyenne, ce qui est non négligeable. Les personnages secondaires sont chouettes, il y a une bonne ambiance, un bon rythme et on n’a pas envie d’aller faire la cuisine pour revenir quand il se passera enfin quelque chose ; ça bouge, c’est sympa, y’a deux Miumiu pour le prix d’un, c’est un drama assez court pour ne pas se répéter à l’infini (*tousse* BBF *tousse*), et en plus y’a de la morale. Bon, ok la morale de l’histoire reste méga floue et personne est d’accord dessus, mais il y a quand même de la morale, et c’est important l’aspect faussement éducatif d’un drama.
Bref, en quelques mots : regardez-le, vous pourrez bishoter sur Haruma Miura et en plus c’est un bon drama, ce qui ne gâche rien.
(Non, je n’ai pas à revoir mon sens des priorités.)
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